La rédaction
Moderne Maharajah, un mécène des Années 30
- Man Ray — La maharani d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard* Man Ray — La maharani d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*
- Bernard Boutet de Monvel — S. A. la maharani d’Indore (costume traditionnel) 1933 -1934 © Collection Al Thani 2019 / Adagp, Paris, 2019 Photo by Prudence Cuming* Bernard Boutet de Monvel — S. A. la maharani d’Indore (costume traditionnel) 1933 -1934 © Collection Al Thani 2019 / Adagp, Paris, 2019 Photo by Prudence Cuming*
- Mauboussin — Bague vers 1940 -1945 Platine, rubis et diamants © Collection Al Thani 2015 Photo by Prudence Cuming Mauboussin — Bague vers 1940 -1945 Platine, rubis et diamants © Collection Al Thani 2015 Photo by Prudence Cuming
- Man Ray — Le maharajah et sa femme vers 1927 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard* Man Ray — Le maharajah et sa femme vers 1927 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*
- Man Ray — Le maharajah et la maharani d’Indore vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard* Man Ray — Le maharajah et la maharani d’Indore vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*
- Ivan Da Silva Bruhns — Carton de tapis d’un modèle conçu pour le palais du maharajah d’Indore, no 1021 1931 © Adagp, Paris, 2019. Photo © Écl’art - Galerie Doria, Paris* Ivan Da Silva Bruhns — Carton de tapis d’un modèle conçu pour le palais du maharajah d’Indore, no 1021 1931 © Adagp, Paris, 2019. Photo © Écl’art - Galerie Doria, Paris*
- Eckart Muthesius — Dessin d’une applique murale fabriquée par Max Kruger vers 1930 Collection Sheikh Saud Bin Mohamed Ali Al Thani Foundation © Adagp, Paris, 2019 Photo © Phillips Auctioneers Limited. Tous droits réservés* Eckart Muthesius — Dessin d’une applique murale fabriquée par Max Kruger vers 1930 Collection Sheikh Saud Bin Mohamed Ali Al Thani Foundation © Adagp, Paris, 2019 Photo © Phillips Auctioneers Limited. Tous droits réservés*
- Eckart Muthesius — Paire de fauteuils à éclairage intégré 1931 © Adagp, Paris, 2019 Photo © Écl’art - Galerie Doria, Paris* Eckart Muthesius — Paire de fauteuils à éclairage intégré 1931 © Adagp, Paris, 2019 Photo © Écl’art - Galerie Doria, Paris*
- Man Ray — Le maharajah d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard* Man Ray — Le maharajah d’Indore en tenue de soirée vers 1927-1930 © Man Ray 2015 Trust / Adagp, Paris, 2019 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy Carrard*
https://www.patrimoinedefrance.fr/hauts-de-france/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=623#sigProId7eab344720
Un pont entre l'Occident et l'Orient
Quel bonheur cette exposition ! Un travail remarquable a été accompli par les deux commissaires d'exposition pour rassembler des pièces uniques de la vie et de l'oeuvre d'un jeune couple indien, inconnu de la plupart d'entre nous et qui adorait la culture française.
Comme au cinéma
Et quelle passionnante enquête. Imaginez un riche maharajah jeune et bel homme très cultivé est amoureux des arts, de la culture française à une époque où son environnement est entièrement tournée vers les apparâts auxquels il doit se soumettre en tant que haut-dignitaire de l'Empire. Les vidéos retrouvées, restaurées le montrent en habit traditionnel dans son palais.
La dynastie Holkar
Le maharajah d’Indore est le descendant, comme tous les membres de la dynastie Holkar, de guerriers marathes originaires d’Inde centrale.
Le projet du palais Manik Bagh
Pour s'évader le jeune souverain et son épouse,souhaitent se faire bâtir un palais "moderne"
Son précepteur le Dr. Marcel Hardy, botaniste belge, et ancien assistant de l’urbaniste écossais Patrick Geddes, le sensibilise aux idées
progressistes.
Ensemble, ils voyagent en Europe et il le conseillera tout au long de son projet.
Il lui fera faire la connaissance d’Henri-Pierre Roché en 1927 qui deviendra son conseiller artistique pour les achats d’art et d’ameublement destiné au futur palais Manik Bagh.
Eckart Muthesius (1904-1989) l’architecture du palais Manik Bagh
La construction du palais Manik Bagh débute en 1930, suite à la rencontre à Oxford du maharajah d’Indore avec l’architecte allemand Eckart Muthesius, en 1929. Réalisé sur les fondations d’un bâtiment déjà existant, l’édifice est finalisé en 1933.
Autre grande figure ayant influencé le maharajah est le couturier, collectionneur, mais également mécène Jacques Doucet.
L’année 1929 le jeune maharajah et son épouse sont souvent présents à Paris et visitent salons et ateliers d'artistes pour mettre en oeuvre leur projet architectural. Il entretenait avec eux des relations cordiales mais très encadrées.
Les plus grands noms se mettent à créer pour eux, ce couple glamour qui les séduit, les inspire également.
Constantin Brancusi attire l’attention des plus grands collectionneurs et mécènes de l’entre-deux-guerres. Son travail, épuré et esthète séduit.
Jean Puiforcat (1897-1945) et le maharajah d’Indore
Outre l’horloge, les vases, coupes, bonbonnières ou services à thé, Puiforcat dessine pour le palais Manik Bagh une importante ménagère de couverts. Jusqu'au monogramme que Puiforcat a imaginé pour le maharajah et la maharani et que l’on retrouve sur un papier à lettres
conservé dans une collection privée.
Créateur de décors et de mobilier d’exception, Jacques-Émile Ruhlmann (1879-1933) renouvelle les arts appliqués. Il fera aussi parti de l'aventure.
Créé en 1932, le mobilier de Ruhlmann réalisé pour le palais Manik Bagh est produit sur mesure en ébène de Macassar, à partir de certains modèles montrés quelques années plus tôt, au Salon des artistes décorateurs de 1929.
Des portraits séduisants laissent un témoignage touchant de ce couple amoureux
Peintre, illustrateur de mode et décorateur, Bernard Boutet de Monvel (1881-1949) est reconnu pour ses portraits dans les milieux mondains franco-américains de l’entre-deux guerres. Il accueillera le couple à plusieurs reprises entre 1929 et 1934 dans son studio à Paris, pour réaliser quatre de leurs portraits en tenues occidentales et traditionnelles.
Man Ray, (1890-1976) photographe peintre, artiste pluridisciplinaire, accueille une clientèle prestigieuse dans son studio parisien,des poètes, écrivains et
de grandes figures de la noblesse comme le maharajah d’Indore, l’Aga Kahn et le vicomte et la vicomtesse de Noailles. Il va le photographier à plusieurs reprises jusqu’en 1930, aux côtés de son épouse, la maharani Sanyogita Devi, lors de leurs vacances à Paris et dans le sud de la France.
C'est une exposition comme on en voit rarement qui touche par l'Hsitoire qu'elle nous raconte.
Courrez-y il est si rare de pouvoir rêver aujourd'hui, vous profiterez d'instants magiques...quand l'art dépassait les frontières intelligemment.
Encore merci à l'équipe du musée des Arts décoratifs pour cette découverte splendide.
Jusqu'au 12 janvier 2020
Commissaires d'exposition
Raphaèle Billé et Louise Curtis
Pour les vacances deux ateliers pour les jeunes
Un bijou pour la maharani pour les 4 ans et en famille et Matières à construire pour les 11-14 ans
Musée des Arts décoratifs
107 Rue de Rivoli
75 001 Paris
01 44 55 57 50
Métro : Palais-Royal, Pyramides,Tuileries
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h
(Nocturne le jeudi jusqu’à 21h : seules les expositions temporaires et la galerie des bijoux sont ouvertes)
Plein tarif : 11 € tarif réduit : 8,50 €
A Saint-Jean de Luz
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- La côte de Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 La côte de Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
- A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019 A Saint-Jean de Luz © photo PdF 2019
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Dans les Pyrénées-Atlantiques, Saint-Jean de Luz station balnéaire très prisée à la belle saison offre de belles balades à l'arrière-saison. Son architecture laisse apercevoir de nombreuses influences qui font de ses demeures une richesse dont on ne se lasse pas.
Ses rues bordées de maisons labourdines (de la campagne) montrent avec fierté les origines basques des familles installées depuis des générations. La cité des corsaires a de belles histoires à raconter.
Ville d'art et d'histoire, le parcours de visite vous amènera à la Maison de l'Infante, magnifique demaure dans laquelle se déroula le mariage de Louis XIV avec Marie-Thérèse d'Espagne.
A voir l'église Saint-Jean Baptiste
Journées mondiales de l'oeuf en meurette
Du patrimoine gastronomique français
Il fallait célébrer l'oeuf en meurette, plat signature de l'un des hauts lieux de l'art culinaire français, c'était une évidence ! et pour ce faire le château du Clos Vougeot associé à Poulehouse*, lance les Journées mondiales de l’œuf en meurette.
L'équipe du Château et de la Confrérie ont imaginé cet événement unique qui deviendra sans doute un rendez-vous annuel.
Première édition du Championnat du monde de l’œuf en meurette
Durant deux journées, des chefs renommés (venus de toute la France) qui proposent d’ores et déjà ce plat à leur carte, s’affronteront et le revisiteront.
La recette de l’œuf en meurette est servie dans plus de 300 restaurants à travers le monde.
Un jury sera exigeant sur la qualité visuelle et gustative de la recette finalisée, sa texture, la qualité du pochage...
Les 11 et 12 octobre 2019
Au menu de ce week-end, découverte de la recette de l’œuf en meurette, via des ateliers de dégustation mais aussi des animations culinaires pour tous.
Au sujet du Clos Vougeot
Construit aux XIIe et XVIe siècles, le Château du Clos de Vougeot est situé au coeur de la route des Grands Crus qui relie Dijon à Beaune. C’est le siège des Climats de Bourgogne classés au Patrimoine mondial.
Le Chef Olivier Walch, entouré de sa brigade, décline son savoir-faire de la cuisine française.
L’oeuf en meurette est le plat signature du Château, servi à 600 convives de façon quasisimultanée, dans le grand cellier cistercien.
Championnat vendredi 11 octobre à partir de 14h30
*startup dédiée à la production de « l’œuf qui ne tue pas la poule »
Inscription obligatoire sur
Le Clos Vougeot
03.80.62.86.09
Gauguin aux enchères
Exposition en avant-première à Paris dès ce 3 octobre
De 1898 à nos jours, Te Bourao II a été présentée dans les principales expositions sur la période tahitienne de Paul Gauguin à travers le monde, au Fogg Art Museum de Cambridge, au Museum of Art de Batlimore, au Grand Palais ou au Musée d’Orsay à Paris. Elle fit même l’objet d’un prêt longue durée de dix ans au Metropolitan Museum à New York, de 2007 à 2017.
Peinte en 1897 à Tahiti, l’huile sur toile est une oeuvre testament synthétisant les thématiques et obsessions tahitiennes de l’artiste, en proie à de nombreux tourments. Te Bourao II provient d’un cycle majeur de neuf peintures de Paul Gauguin réalisées à Tahiti et envoyées à Paris en 1898 dans le cadre d’une exposition consacrée à l’artiste à la galerie Ambroise Vollard. Parmi ces chefs-d’oeuvre, figurait l’emblématique tableau D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ?. De cet ensemble, Te Bourao II est aujourd’hui le seul encore en mains privées ; les huit autres ornent les cimaises des plus prestigieuses institutions: le musée des Beaux-Arts de Boston, le musée de l’Ermitage à Saint Pétersbourg ou le musée d’Orsay à Paris.
Du jeudi 3 au mercredi 9 octobre 2019
Exposition du vendredi 29 novembre au mardi 3 décembre 2019
Vente aux enchères le mardi 3 décembre 2019, à 20h
Artcurial
7, Rond-Point des Champs-Elysées, 75008 Paris
Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde
Le décor est planté, nous sommes dans un asile psychiatrique. Anna, jeune infirmière accueille un nouveau venu : Erik Satie. Elle le questionne sur ses antécédents, sa vie. Intriguée par ses réponses, elle s'attarde à son chevet et un dialogue s'instaure.
En quelle année sommes-nous ? sous la plume de l'illustrateur SUKI le temps s'égrenne et nous traversons un autre monde.
Une gymnastique de l'esprit
Dans l'univers d'un compositeur (1866-1925) rebel à son époque, qui toute sa vie tente d'imposer sa vision de la musique. L'artiste a l'imagination fertile, il donne des noms insolites à ses oeuvres "Ses Gymnopédies (1848), "Trois morceaux en forme de poires" (1903)
"Il n'y a pas de vérité en art"
Elliot Jenicot campe un Erik Satie tout à la fois sincère et baroque. Bien souvent la mélancolie est associée à ces interludes de piano. Sans doute ses blessures que l'on ressent. Mais l'homme a eu plusieurs vies, il s'engage pour différentes causes. Il sera au coeur de mouvement artistique naissant à Paris, une époque flamboyante où l'on croise Picabia, Picasso, Cocteau, Diaghilev...
Tous les arts se côtoient, les rencontres alimentent son oeuvre
Ses amis, ses amours
"Un musicien égaré dans son temps" comme parlait de lui son ami Claude Debussy, que ses prises de position finiront par séparer. En amour il est intransigeant. Il évoque sa passion pour Suzanne Valadon qui le quittera aussi.
L'auteur Laetittia Gonzalbes nous entraîne dans une fiction qui suscite l'envie d'écouter à nouveau Satie. Anaïs Yazit déploie un charme et une force qui se dévoilé créscendo. Cette création est interprétée avec brio par un duo énergique et radieux.
Erik (avec un K) Satie a légué une oeuvre qui ne meurt pas. Il aurait certainement apprécié cette pièce plus qu'un long discours, elle nous fait apprivoiser un homme décidément pas comme tout le monde.
Avec Elliot Jenicot et Anaïs Yazit
N.B.
Du 3 octobre 2019 au 4 janvier 2020
Du mardi au samedi à 19h, durée 1h10
De 10 à 32 €
Relâches 10 octobre, 8 novembre, 6 décembre
Réservation 01.42.0.81.88
Théâtre de la Contrescarpe
Rue Blainville
75005 Paris
m° Place Monge ou Cardinal Lemoine
Les vendanges de Suresnes, 36ème Festival
La bonne humeur c'est ce qui caractérise sans aucun doute cette manifestation qui s'annonce pleine d'énergie !
La thématique retenue "A plumes et à poils" laissera vagabonder l'imagination des compagnies de théâtre, 22 au total pour 200 artistes présents.
Le Festival des Vendanges de Suresnes est devenu une référence en matière d'Arts de la Rue.
Pour la première fois, le Festival débute avant le week-end, en effet dès jeudi, une compagnie proposera dans la Cité Jardin, des petits-déjeuners insolites...et emmènera vos enfants à l'école.
La transmission du Patrimoine comme fil conducteur du Festival
Danse, théâtre, cirque, musique, déambulation et marionnettes, au coeur de la Cité-Jardins, labellisée patrimoine d’intérêt régional en juillet 2018.
Participez à la préparation de la fameuse soupe aux cailloux du festival, à partir de 15h le samedi 5 octobre. Plongez dans la marmite vos légumes et autres trouvailles du potager
Les 4, 5 et 6 octobre 2019
Samedi de 9h à 23h30
Dimanche de 12h à 19h30
Samedi 5 octobre
Soupe aux cailloux du festival, à partir de 15h, à 19h dégustation
Place Stalingrad, ateliers de maquillage et de confection de masques
Vigne de Suresnes Entrée libre
4 Rue du Passage Saint-Maurice
92 150 Suresnes
Au coeur de Grasse Jean de Galimard
Une source parfumée
Chantal Roux est une passionnée. Après trois années de recherche dans les archives de Grasse, de Séranon, de Nice, du Var et de Thorenc, elle nous invite à suivre une conférence dédiée à Jean de Galimard, inventeur de parfum.
Une saga historique et olfactive
De la Côte d'Or à la Côte d'Azur
En hommage à une histoire familiale ancrée à Grasse par le Cercle culturel du Pays de Grasse
Mercredi 2 octobre à 17h
7€, Gratuit pour les adhérents
Au Palais des Congrès
10 avenue Thiers
06130 Grasse
04.92.60.42.74
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