"La tomate sous toutes ses formes" voilà la promesse de la nouvelle édition du Festival de la Tomate, devenu le traditionnel rendez-vous des amoureux du fruit.
Ovales, allongées, cornues, striées…la tomate ne manque jamais de nous surprendre. Sur place, un marché fourni en variétés anciennes, de toutes les couleurs, blanche, jaune, orange, noire…, à la saveur inimitable loin de la standartisation et des tomates imangeables que l'on nous vend obstinément...
Une cinquantaine d'exposants ajouteront aux notes gustatives des tomates exposées, des graines et des plants que les visiteurs pourront se procurer. Nouveauté cette année, une exposition expliquera l’histoire de la tomate, de sa découverte au Mexique à son parcours à travers l’Europe...
Diverses animations ponctueront ces deux jours; ateliers de dégustations et visite guidée du potager conservatoire national de la Tomate.
Initiative interessante la dégustation à l'aveugle de différentes tomates pour retrouver sa couleur soa saveur sans être influencé, une expérience originale !
Concours de dessin autour de la tomate pour les enfants.
Les 7 et 8 septembre 2019
Tarif 7,50€ visite des jardins du parc et des expositions
Château de la Bourdaisière
37 270 Montlouis sur Loire
02.47.45.16.31
A Nevers, la faîencerie est affaire de famille depuis des siècles. Une nouvelle génération en a pris les commandes, sur les pas des anciens mais en actualisant cet art ancestral.
On n'échappe pas à son histoire. Clair est depuis enfant dans cet environnement, son père, son grand-père, avant lui, exercaient la profession. La faîence il connait sur le bout des doigts.
C'est un artiste, il maîtrise parfaitement la technique.
A Nevers on a le réflexe faîence ! La tradition est bien ancrée pour offrir des cadeaux, une belle faïencerie est toujours appréciée. La faïence ne se démode pas, les commandes affluent.
Vous pouvez visiter l'atelier et découvrir un métier passionnant expliqué avec générosité
Faïencerie Clair Bernard
1 Rue Sabatier
58 000 Nevers
03.86.36.51.71
Amis abonnés si vous passez par le Pays des Ecrins, voici une adresse de qualité, qui ne paye pas de mine mais très appréciable. Au premier abord, c'est un pavillon dans un lotissement comme un autre mais sur l'ardoise à l'entrée de son jardin, on peut lire Auberge, là vous pénétrez dans le royaume d'Esther.
Ancienne institurice, Esther Poncet a une autre passion que celle d'enseigner, celle de cuisiner. Et pour assouvir ce besoin, elle nous accueille dans sa maison toute l'année.
Entourée d'une jeune équipe motivée, sa cuisine régale les papilles avec des produits frais, faits maison, et comme son nom l'indique cuite au feu de bois !
La vue est superbe, sous la terrasse abritée du soleil.
Son adresse est bien connue des gourmands du coin, qui vous indiqueront de prendre le départ de la Vallée du Fournel en direction des Mines d'argent, à visiter dans la foulée, après le dessert...
Un Mimi-resto comme l'appelle sa propriétaire
Autour du Four
Ouvert toute l'année
Sur réservation les midis et soirs
04.92.23.00.69
8 rue de Portin
05120 L'Argentière-La-Bessée
Il faut croire que cette ancienne abbaye cistercienne inspire les artistes. Des sculptures géantes posées ça et là dans le parc inaugurent cette Première édition.
Située en le Havre et Rouen, en Seine-Maritime, le monument est animé depuis le début du mois par la manifestation qui incite à la détente et la découverte.
La Nature au coeur de l'exposition
Neuf artistes contemporains prennent possession du Domaine. Des matières de toutes sortes servent de support à leurs expressions, tournées vers l'environnement, source d'inspiration et de questionnement actuel.
De l'osier, du bois, du verre, du métal...matières qui se métamorphosent en figures animales. Singe, poissons, ou végétales, champignons, fleurs...
Les artistes exposés Isabo Ritz, Anne-Emmanuelle Marie, Larry Mc Laughlin, Judith Lemoine, Bruno Lemée, Jenni Fauvette, Marc Duparc, Josée Coquelin, Karelle Couturier.
Entrèe libre et gratuite
Tous les jours de 8 h à 20h
Abbaye du Valasse
Route de l'Abbaye
76 329 Gruchet-le-Valasse
Commissariat d'exposition
Dominique et Michel Laborde de l'Association Création Culture en Pays d'Auge
Jusqu'au 31 août 2019
"La vente de nos productions cet été nous aidera mais ne suffira pas." estime la dernière employée du Conservatoire de la Dentelle de Bayeux.
L’appel au secours est déjà sans doute trop tardif. Le Tribunal de grande instance de Caen laisse la date butoir du 26 juillet pour rechercher des solutions viables économiquement.
En charge de transmettre ce métier unique, le Conservatoire de la Dentelle va demander des aides à la Région.
La vente des productions insuffisantes et les cours dispensés à de jeunes élèves en apprentissage ne vont pas résoudre l’équation. Les caisses sont vides.
Comment en est-on arrivé là ?
La précédente équipe, apparemment, n’a pas projeté cette institution dans le futur. La situation est devenue ingérable. Sa collègue vient de partir à la retraite et seule, Véronique Thomazo ne peut plus en assurer le fonctionnement.
Un recrutement d’urgence
Il faudrait embaucher et la formation ne se fait pas en claquant des doigts !
Il faut du temps pour former une dentellière sur un point exceptionnel, vieux de 300 ans, cela ne s’improvise pas.
La piste d’internet pourrait apporter quelques subsides. Si un mariage princier se profile…Un catalogue de vente vient de paraître pour proposer des dentelles aux fuseaux, à l’aiguille.
Inconscience, laisser aller, manque de projection dans l’avenir c’est un savoir -faire qui va encore disparaître en France. Alors qu’il pourrait être source d’emploi.
C’est une vitrine incomparable aux yeux des anglais, des canadiens, dernièrement des brésiliens, viennent nombreux admirer nos merveilles. Friands de découvrir ce que l’Ancien Monde sait faire de mieux, non délocalisable.
Notre Patrimoine commun.
Verdict à la fin du mois.
Le Col du Solude © photo PdF 2019
Le Col du Solude © photo PdF 2019
En 1684, le village obtient son autonomie paroissiale © photo PdF 2019
En 1684, le village obtient son autonomie paroissiale © photo PdF 2019
Le lavoir de Villard-Reymond © photo PdF 2019
Le lavoir de Villard-Reymond © photo PdF 2019
Vue sur Villard-Reymond © photo PdF 2019
Vue sur Villard-Reymond © photo PdF 2019
La Ferme du Champ Perché © photo PdF 2019
La Ferme du Champ Perché © photo PdF 2019
La culture de Petits fruits rouges © photo PdF 2019
La culture de Petits fruits rouges © photo PdF 2019
Le jardin d'En Haut
Le jardin d'En Haut
https://www.patrimoinedefrance.fr/l-actualit%C3%A9-du-patrimoine/jep/jep-2021/content/30-abonnes.html?start=70#sigProId34a833ccc8
C'est un jardin aussi surprenant qu'inattendu à cet endroit. Il faut dire que sa propriétaire aime les expériences. Elle a la main assurément verte la jeune Cécile Andrieux.
A 1650 mètres, le jardin a de quoi surprendre !
Installée sur ses terres depuis peu, Cécile s'essaie au maraîchage d'altitude, son terrain de jeux domine la vallée et de sa vue imprenable elle produit des légumes de saison.
Un chat n'y retrouverait pas ses petits mais Cécile connait son champ comme sa poche. Dans ce vaste champ où tout pousse en permaculture, où les allées ne sont visibles qu'à l'oeil averti de la jardinière, les plantes s'épanouissent. Ca fonctionne à merveille !
Cécile laisse la nature prendre ses aises, les herbes se développer comme elles le souhaitent, envahissant les jeunes plantations. Ensuite certains seront transformés pour la vente.
La cueillette sera livrée autour de la ferme et sur le marché. Les produits maison se transformeront en gâteaux et meringues aux saveurs originales.
Cécile raconte lors de la visite de son champ ses différentes activités au fil des saisons*
Les Jardins d'En Haut jouxtent le terrain de Cécile. Situés tous les deux sur la Route des Savoir-faire, les visites au public entretiennent l'activité dans les villages de montagne. Vous pourrez apprécier les produits locaux sur place : Confitures, ail des ours, produits maison, liqueur de génépi, petits fruits rouges...
Tous les vendredis de 11h à 13h
Du 1er juillet au 31 août
La Ferme du Champ Perché
38 250 Villars-Reymond
Avec la faïence l'autre renommée de la ville de Nevers fut le verre
Provenant de diverses collections muséales et privées, les quelques 200 pièces qui composent cette exposition temporaire prouvent si il en est besoin l'importance de Nevers dans la production verrière française.
L'exposition explore son histoire dès 1583 avec une évolution dans le temps à Nevers, puis se prolonge plus à l’ouest à Orléans, renaît brièvement ensuite dans le Massif central à La Margeride, Védrines-Saint-Loup et pour finir à Montcenis, Le Creusot.
De la fin du XVIe au début du XIXe siècle le verre est présent sur tout le territoire. Après deux siècles d’une activité dense, la verrerie nivernaise connaît des difficultés financières et cesse définitivement son activité en 1775.
Le musée de la faïence et des beaux-arts dévoile l'une des spécialités nivernaises à savoir la technique des verres émaillés à la lampe, dont l'établissement possède l'une des plus riches collections.
L'on trouve ici une étonnante collection de « verres émaillés », c’est-àdire de figurines en verre travaillé à la lampe.
Grâce aux verriers italiens altarais, une autre forme de l’art du verre a été pratiquée de façon continue à Nevers, durant plus de deux siècles celle des verres de prestige, dits à la façon de Venise.
Exposition du 7 avril au 21 juillet 2019 prolongée jusqu'au 22 septembre 2019
Madame Jeannine Geyssant, Commissaire scientifique de l'exposition
Visite commentée sur rendez-vous
Ouvert du mercredi au dimanche de 12h à 18h
Fermé le lundi et mardi, sauf groupes et scolaires sur rdv
Musée de la faïence et des beaux-arts
16 rue Saint-Genest
58 000 Nevers
03 86 68 44 60
Petite commune de 370 habitants Ongles s'anime tout au long de la semaine en accueillant un Symposium grâce à l'Association Fréquezen qui réunit différents artistes européens tous les ans depuis 1993. L'association « J'Ongles Arts » soutient le projet avec des artistes locaux impliqués dans la vie du village.
Sculpture, peinture, arts plastiques...Réalisation d'une oeuvre par différents artistes dans un lieu unique sur un thème préalablement décidé.
Invités à découvrir le patrimoine régional telles que les bergeries du Contadour qui témoignent d'un long pastoralisme et la traversée des champs de lavande en grande période de floraison. La balade a débuté joyeusement.
Le thème choisi cette année à l'occasion de ce symposium est BALLADE qui signifie petit poème libre et chanson à danser.
Ateliers Enfants-Artistes
Trois artistes, la vitrailliste, Ans Barillé-Riedijk, le peintre, Jean-Pierre Dupont et le sculpteur, Gilles Brun viendront dans chacune des écoles participantes d'Ongles, Limans et Revest des Brousses pour la réalisation de chaque oeuvre.
Pour une Connexion entre le monde rural et le monde artistique
Toute la semaine, des temps forts se partagent : rando découverte, déclamation poétique, ornithologie...
Du 1er au 7 juillet 2019
L'Association Patrimoine de France est heureuse d'apporter son soutien à la manifestation
Nouveau Parcours Chine présenté actuellement sur l’ensemble du Jardin des Plantes
Le panda de Chine fut découvert il y a 150 ans par Armand David, dit « le Père David », missionnaire et scientifique. Mandaté par le Muséum national d’Histoire naturelle, il en fit une description et envoya deux spécimens en Europe : une femelle et un jeune.
Ces deux individus, dits référents, sont dorénavant présents dans la salle des espèces menacées et disparues au sein de la Grande Galerie de l’Évolution. Ils constituent la série type de l’espèce Ailuropoda melanoleuca (David, 1869), référence mondiale pour les scientifiques.
On recense aujourd’hui moins de 2000 individus sur la planète, vivant soit à l’état sauvage dans les réserves naturelles et parcs nationaux chinois, soit en captivité dans des parcs zoologiques hors de la Chine.
Cet été, le parcours mettra à l’honneur dix espèces végétales et animales chinoises présentes sur le site du Jardin des Plantes (Arbre aux mouchoirs, Buddleia de David, Clématite d’Armand…), la Ménagerie (cheval de Przewalski, panda roux, panthère des neiges…) et la Grande Galerie de l’Évolution (panda géant naturalisé).
La découverte d'une espèce en danger
Né en 1826 à Espelette (Pyrénées-Atlantiques), Armand David est naturaliste, botaniste mais aussi évangélisateur et membre de la congrégation des lazaristes. En 1862, Henri Milne-Edwards, directeur du Muséum, sollicite l’aide des missionnaires pour inventorier les espèces animales et végétales de Chine, à cette époque encore très mal connues en Occident.
Le Père David est désigné pour une mission à Pékin où il observe notamment Elaphurus davidianus (le cerf du Père David) dans le Jardin impérial de la Cité interdite.
Il mène ensuite, jusqu’en 1874, trois expéditions dans différentes provinces chinoises. Il recense, collecte et envoie ainsi au Muséum pas moins de 2919 plantes, 9569 insectes, arachnides et crustacés, 1332 oiseaux et 595 mammifères.
C’est au cours de sa mission dans la région du Sichuan, en 1869, qu’il observe deux spécimens d’une nouvelle espèce d’ours noir et blanc.
Il publiera dans le bulletin des Nouvelles archives du Muséum la première description du panda géant à partir de ces deux individus.
Muséum national d'Histoire naturelle
57 rue Cuvier
75 005 Paris
01 40 79 56 01
Si il y a une adresse à connaître pour faire relier des manuscrits c'est bien celle-ci : le Garage Librairie à Forcalquier
Véritables maîtres d'oeuvres, Vanessa Krolikowski et Romuald Sourisse sont installés à Forcalquier. L'aventure débute il y a douze ans quand ils investissent l'ancien garage Laurent. L lieu est idéal pur exposer leurs livres, magazines et autres posters composés son compagnon.
Quant à Vanessa qui coud ses livres à la main. Elle est une spécialiste de la reliure islamique et propose des petits cours concis sur les différentes reliures du monde entier.
Romuald n'a pas son pareil pour redonné vie aux ouvrages d'antan. La calligraphie est un domaine dans lequel il excelle.
Surtout ne manquez pas de leur rendre visite, la porte du Garage est grande ouverte et des merveilles vous y attendent.
N.B.
Garage L
BD Bouché
Forcalquier
Des blocs de pierre à disposition
Ce qui est passionnant à Guédelon c'est d'assister en temps réel à des ateleirs comme ici la taille d'une pierre qui va servir à la construction. Les ouvriers du chantier s'entraident et sont heureux de faire des démonstrations de leur technique.
Toujours un travail d'équipe
En peu de temps la pierre est soumise à la volonté des artisans. Ensuite elle sera travaillé dans l'atelier de taille et répondra à un plan précis dans la longue chaine de tâches du chantier.
Créations tactiles lumineuses
L'Atelier d'Isabelle
Aiguebelle
04150 Banon
zab624@wanadoo.fr
Le Pin Lyre
Thomas Murach
Saint-Michel-l’Observatoire
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