Il aura fallu attendre cent ans après la disparition de Gustave Fayet pour que son nom soit connu, au-delà des lieux qu’il a marqués de son empreinte. Une reconnaissance multiple et justifiée, mettant en lumière toutes les facettes de l’homme. A la fois artiste, collectionneur, mécène, bâtisseur et entrepreneur. Cette année et la prochaine, six espaces ont ou vont lui rendre hommage. Se concluant en apothéose à la Fondation Louis Vuitton, d’octobre 2026 à mars 2027.
Avant le 31 octobre 2025, il faut se précipiter à l’abbaye Saint-André, à Villeneuve lez Avignon. Y sont accrochés tableaux et dessins de Gustave Fayet, exposés pour la première fois. Près de 90 œuvres et documents illustrant ses résonances intimes, artistiques et littéraires pour la Provence. Dans ce patrimoine remarquable qu’il a acheté, en 1916, pour son amie la poétesse Elsa Koeberlé, on profitera également des ambiances toscane, provençale, romantique, minérale de ses jardins, labellisés « jardin remarquable ». Il y fait bon flâner, et même y faire la sieste, au soleil d’automne, face au Palais des papes d’Avignon, sur l’autre rive du Rhône !
Une autre exposition Gustave Fayet et le Japon est aussi encore visible à Béziers, au musée éponyme, jusqu’à la même date pour évoquer l’intérêt du biterrois pour l’art d’Extrème-Orient. Pour mémoire, on peut rappeler la quinzaine qui lui a été consacrée à Ygny, ville de la région parisienne où il acquit le château en 1912. Et qu’il restaura. Ainsi que l’exposition de Béziers, où il est né en 1865. Evoquant Gustave Fayet l’entrepreneur. Enfin à Arles, au museon Arlaten, où furent présentées les 72 planches qu’il a dessinées pour illustrer Mireille (Mirèio), l’ouvrage en provençal de Frédéric Mistral.
Mais avant de préciser ce qui est prévu en 2026/27, qui était Gustave Fayet ? Il est issu d’une famille languedocienne ayant fait fortune dans l’exploitation, du canal du Midi et de nombreuses propriétés viticoles. Gabriel Fayet, son père, et Léon Fayet, son oncle, tous deux artistes, collectionneurs et amateurs d’art, lui ont transmis leurs passions. Dès son enfance, Gustave dessine et peint. A la mort de son père, en 1899, il hérite de sa fortune, lui succède dans les affaires et s’entoure d’amis éclairés. Affichant son goût pour l’art moderne. Alors directeur du musée de Béziers, il organise une exposition en 1901, où il réunit des œuvres de Degas, Renoir, Cézanne, Rodin et du jeune Picasso. Quand il s’installe à Paris, en 1905, il ouvre chaque jeudi un salon afin de faire découvrir la nouvelle génération d’artistes.
Avec son épouse, il achète aux enchères l’abbaye de Fontfroide, près de Narbonne, en 1908. Un nouveau lieu de vie qu’il restaurera avec ses amis artistes. C’est enfin dans la villa Costebrune, près de Toulon qu’il passe les cinq dernières années de sa vie. Mécène visionnaire, Il décore ses demeures de tableaux d’Odilon Redon, Gauguin, Van Gogh, Bonnard, Matisse, Monticelli. Devenant le plus grand collectionneur de Gauguin. Une photo présentée à l’abbaye de Villeneuve lez Avignon montre quelques tableaux qu’il a acquis. Aujourd’hui, « une intelligence artificielle a évalué à 950 millions d’euros les œuvres réunies dans cette pièce », glisse un membre de l’association du musée d’art Gustave Fayet à Fontfroide !
Quant à son activité artistique, entre 1889 à 1899, il participe plusieurs années au salon des artistes marseillais et à celui des artistes français. Obtenant à 29 ans, une médaille au salon de peinture de Nîmes. Inspiré également par l’Art nouveau, il co-signe et expose une centaine de céramiques. En 1901 et 1902, il accroche des paysages méridionaux au salon de la Société nationale des Beaux-arts. En 1920, il investit le champ des arts décoratifs et fonde, à Paris, l’Atelier de la Dauphine où seront réalisés des tapis d’après ses aquarelles décoratives. Ceux-ci lui valent une première et véritable consécration.
En s’installant à Costebrune, Gustave Fayet renonce en partie à la gestion de ses biens pour des expériences créatrices. Décoration de sa nouvelle maison, création de tapis d’art, illustration de livres.
Pour mieux connaître Gustave Fayet, d’autres expositions seront à apprécier dans quatre lieux. D’abord au Palais musée des Archevêques de Narbonne qui présentera Gustave Fayet et le paysage, du 23 octobre 2025 au 23 janvier 2026. L’exposition aura pour point de départ un don de Gustave Fayet au musée de Narbonne. De ce Genêts en fleurs, de 1885 jusqu’aux années 1920, l’évolution de ses paysages sera mise en évidence. « Certains paysages inédits du Palais-musée des Archevêques seront exposés pour contextualiser les œuvres de Gustave Fayet […] : Achille Laugé, Daniel de Monfreid, lié par ailleurs à Gustave Fayet, et l’école provençale … », précise la conservatrice en chef du Palais musée et des monuments historiques de la ville. Soit en tout 25 œuvres dont 19 prêts.
Puis de nouveau à l’abbaye Saint-André, du 1/3 au 30/8/2026, sur le thème Gustave Fayet et ses jardins imaginaires. Dans les trois propriétés rurales où il a vécu, l’entrepreneur-esthète a aménagé les jardins. La nature est pour lui une source d’inspiration. Dans cette exposition, « Ses créations, profondément marquées par une recherche décorative, se déploient sur des toiles, tapis, tissus, buvards et livres illustrés. Les motifs floraux, parfois métamorphosés, évoquent l’œuvre de Redon et témoignent d’une vision unique du végétal où nature et décoration se répondent harmonieusement » expliquent les commissaires.
Impossible de passer outre Gustave Fayet, symphonies décoratives à Fontfroide, près de Narbonne, entre mai 2020 et janvier 2027. Cette abbaye cistercienne est peut-être « son » chef-d’œuvre et celui de ses amis « fonfroidiens ». En plus des vitraux du maître verrier Richard Burgsthal et des grands décors d’Odilon Redon, on y découvrira les apports de Gustave Fayet dans la restauration et l’aménagement harmonieux de cette architecture millénaire. Une « œuvre d’art totale », à voir au cours d’un circuit de visite inédit. Enfin, après avoir apprécié Gustave Fayet dans les cadres prestigieux où il a vécu, rendez-vous à la Fondation parisienne Louis Vuitton.
Entre octobre 2026 et mars 2027, elle organisera une manifestation mettant en lumière Gustave Fayet, en deux volets. D’abord sur le collectionneur, avec un ensemble d’œuvres de Gauguin, van Gogh, Cézanne, Redon … Ensuite sur son activité de créateur dans le domaine des arts décoratifs, céramique, vitrail, tissus et tapis. Ce faisant, la fondation reconnaît un collectionneur d’exception, un créateur singulier. Mais aussi un mécène, ami des artistes, plasticiens, musiciens et écrivains. Cerise sur le gâteau, un programme musical est prévu au cours de cette saison du centenaire dans différents lieux. En mémoire du Gustave Fayet, fondateur de la chambre musicale de Béziers et amis des pianistes et compositeurs Ricardo Vines et Déodat de Séverac.
Guy Hébert
En résumé
Jusqu’au 31 octobre 2025 :
Gustave Fayet en Provence : Abbaye Saint-André Villeneuve lez Avignon Gustave Fayet et le Japon : Musée Fayet Béziers
Du 23 octobre 2025 au 23 janvier 2026 : - Gustave Fayet et le paysage : Palais-musée des archevêques Narbonne
Du 1er mars au 30 août 2026 : - Gustave Fayet est ses jardins imaginaires : Abbaye Saint-André Villeneuve lez Avignon
De mai 2026 à janvier 2027 : Gustave Fayet, symphonies décoratives à Fontfroide : Abbaye de Fontfroide, Narbonne
D’octobre 2026 à mars 2027 : - Une exposition en deux volets à la Fondation Louis Vuitton, Paris
Programme musical sur:
Un bel échantillon d'affiches inspirées par la création originale pour ces Journées Européennes du Patrimoine 2025, démontre le talent de nos régions, de nos villes à faire rayonner le Patrimoine !
Petit tour des régions et des villes pour les Journées européennes du Patrimoine 2025
Granville détient un Patrimoine maritime exceptionnel. Forte de son histoire, la ville organise de nombreux évènements qui illustre les aventures humaines qui ont échelonné les siècles.
Le Port de Granville compte aujourd’hui 136 navires de pêche, il est parmi les premiers ports normands en tonnage et premier port français de pêche aux coquillages.
Le festival des Voiles de Travail s'installe sur les quais du port de pêche de Granville, Il attire chaque année de nombreux amateurs des produits de la pêche et de la conchyliculture locale,
Les vieux gréments présents feront l'admiration de tous. C'est ici sur le port qui fut baptisé, le Marité, restauré et flambant neuf, l'acteur Jacques Gamblin, parrain de l'évènement, permit à ce bateau mythique de reprendre le large.
Hommage au corsaire granvillais Pléville Le Pelley
Retour sur le parcours de ce jeune mousse sur les terre-neuviers, puis grand corsaire granvillais, il devient ensuite gouverneur du port de pêche de Marseille et termine sa carrière au ministère de la Marine. Il est fait chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis et de l’ordre de Cincinnatus, et décoré de la Légion d’honneur.
Au fil des rencontres dans les différents stands
Le Musée d’art et d’histoire de Granville esposera quelques trésors de ses collections, témoins de la Grande pêche.
L'association "Bateaux de Normandie" présente sa mission qui est de sauvegarder, restaurer et célébrer le patrimoine maritime normand. Rencontre avec Marine Lebreton qui crée à la main des cartes marines.
De multiples animations sont proposées au Repaire des Moussaillons
Du mercredi au dimanche de 10h à 18h
Dimanche jusqu'à 17h
Gratuit
Festival des Voiles de Travail
Du 20 au 24 août 2025
Office de tourimse Granville Terre et Mer
2 rue Lecampion
50 400 Granville
02.33.91.30.03
Qui veut connaître Pierre Soulages doit passer par Montpellier et son musée Fabre, avant le 4 janvier 2026 ! Et pas seulement pour apprécier ses quelques 120 toiles, œuvres sur papier, cuivres, bronzes et verres, sur 1200m². Avec le soutien exceptionnel du musée Soulages, de Rodez. Ne retenant pas une présentation chronologique, les co-commissaires, Michel Illaire et Maud Marron Wojewodzki ont identifié six thèmes. Permettant d’accrocher, en regard, des œuvres ayant influencé le travail du peintre des Outrenoirs. Des rencontres plastiques, formelles, théoriques et amicales. Plus d’une vingtaine !
D’une statue-menhir du IVe-IIIe millénaire avant notre ère à Courbet, en passant par Picasso, Cézanne, Mondrian, Hantaï, Zao Wou-Ki, Rembrandt, Zurbaran, Van Gogh et Georges de La Tour, dans l’ordre de la visite. Auquel, chemin faisant, on ajoutera Hartung, Anna-Eva Bergmann, Ernst, Riopelle, Pierrette Bloch, Le Lorrain, Sonia Delaunay, Geneviève Asse, Le Gray, Jean-Michel Meurisse et Buraglio. Bref, une promenade dans l’histoire de l’art à laquelle nous convie cette exposition « Pierre Soulages-La Rencontre ». Des rencontres en vérité, donc. Pouvait-on échapper au clin d’œil à l’un des tableaux iconiques du musée Fabre, « Bonjour Monsieur Courbet », initialement titré « La Rencontre » ?
Que la visite commence ! Avec deux œuvres inédites, réalisées en 2020 et 2021, avant le décès de Pierre Soulages, en 2022. Si dès sa jeunesse à Rodez, les statues-menhir du musée Fenaille ont éveillé son intérêt, l’art des grottes ornées l’a aussi fait entrer dans l’histoire de l’art. La première partie de l’exposition fait place à la « Matière première ». L’austérité et la force brute de ses goudrons et brous de noix y trouvent leur place, comme certains Outrenoirs tardifs. Pour le thème « Bâtir la peinture », Soulages construit son œuvre comme une architecture, utilisant des matériaux et des outils de peintre en bâtiment. Dès 1941, il s’était intéressé à la structure de l’arbre, dans la lignée de L’arbre gris de Piet Mondrian, du Kunstmuseum de Den Haag, présenté ici.
La thématique « Ecriture et silence plastique » correspond à sa découverte de la calligraphie chinoise en 1947. Ce qui l’amène à souhaiter « pour mes toiles, c’est qu’il y ait le minimum de « vacarme formel » autour, qu’elles soient suffisamment isolées des autres matières et couleurs pour que s’instaure un « certain silence plastique », comme le silence est nécessaire pour écouter de la musique ».
Deux œuvres de Pierrette Bloch et de Zao Wou-ki révèlent ces connivences amicales. « Cette couleur violente ». Du clair-obscur au noir lumière, la quatrième thématique, illustre la fascination de Pierre Soulages « cette lumière secrète venue du noir ». Ces œuvres mono pigmentaires occuperont toute la seconde moitié de sa carrière de peintre. A l’origine, sa fréquentation de la Sainte-Agathe, de Zurbaran au musée Fabre. De même que le Paysage au coucher du soleil de Van Gogh.
L’envers du noir.
Blancs et transparences, renvoie à l’enfance du peintre, dessinant des paysages de neige, avec de l’encre noire. Celui-ci avouant, « … malgré ce noir d’encre ou plutôt grâce à ce noir, ce dessin était vraiment pour moi un paysage de neige ». Le blanc joue en effet un rôle fondamental tout au long de sa pratique. De même que la transparence, à l’image de son travail pour les vitraux de l’église abbatiale de Sainte-Foy de Conques, entre 1987 et 1994. Ce sont dans les lavis de Claude Lorrain et de Rembrandt et dans l’Autoportrait au col rayé de Courbet, qu’il faut chercher les influences.
La sixième thématique « L’espace de la peinture » renvoie aux notions de dépouillement et d’horizon. Cet horizon que Soulages a toujours cherché. Aussi bien en achetant un horizon pour construire sa maison sur les hauteurs de Sète qu’en faisant dialoguer un triptyque Outrenoirs de 1996 avec trois photographies de Gustave Le Gray, Effet de soleil dans les nuages-Océan, lors de son invitation au musée d’Orsay, en 2004. En circulant autour des tableaux suspendus par des câbles, on se rappellera que le peintre avait décidé cette présentation lors d’une exposition au musée de Houston en 1996.
Dernières rencontres également avec une œuvre de Pierre Buraglio et d’autres de son ami Jean-Michel Meurice. Dont la toile de 1979, troublante, car il est difficile de la séparer de l’invention, la même année, des Outrenoirs. L’exposition se clôture dans les salles du parcours permanent, voulues par Soulages. Invitant les visiteurs à redécouvrir les œuvres de la « donation Colette et Pierre Soulages » de 2005, sous un nouveau regard.
Seul le musée Fabre de Montpellier pouvait offrir une présentation et une telle compréhension de son travail dans un lieu qui, « plus que tout autre a compté pour moi », comme l’écrivait celui qui, dès 1941, le découvrait alors qu’il préparait le professorat de dessin, à l’école des beaux-arts de Montpellier. Et où il a rencontré, la même année, la sétoise Colette Laurens, sa future épouse.
Ne pas manquer cette première rétrospective depuis la disparition du maître de l’Outrenoir !
Guy Hébert
Musée Fabre
39 boulevard Bonne Nouvelle
34000 Montpellier
+33(0)4 67 14 83 00
Ouverture du mardi au dimanche de 10 à 18h (horaires d’été)
Animations à venir, autour de l’exposition :
1° Une balade poétique d’environ dix minutes, en réalité virtuelle, sur le travail de Pierre Soulages, portée par la voix magnétique d’Isabelle Huppert (A découvrir sur réservation du mardi au vendredi de 14h à 18h. Les samedis et dimanches de 11h à 13h et de 14h à 18h).
2° Visites guidées : du mardi au samedi, à 15h. Les dimanches, à 11h15.
3° Cycles de conférences : Les 17/9, 8/10, 5/11, 3/12 à 18h30 (programme détaillé sur www.museefabre.fr )
4° Visites en famille durant les vacances scolaires les mercredis, vendredis et samedis (détail sur le site du musée).
5° Ateliers de création artistique (voir détails sur le site)
6° Le 12 octobre, un temps fort mettra en lumière les liens poétiques entre Pierre Soulages et Léopold Sédar Senghor.
7° Le 22 novembre, une soirée artistique, festive, décalée et décloisonnée invitera les noctambules à explorer l’univers de la nuit, entre contemplations, expérimentations plastiques et spectacle vivant. Pensée à double voix avec la Bulle bleue, fabrique artistique.
La 6ème édition de Swinging Montpellier s'annonce sous les meiulleurs auspices: soleil et convivialité voilà les atouts d'un Festival qui réunit chaque année les amoureux des danses rétro.
Une communion de musiques et des danses jazz swing
Le programme en grande partie gratuit, en plein air, sous la houlette de Rémy Kouakou Kouamé, artiste danseur, performer, chorégraphe et DJ, directeur artistique du festival depuis 2023. A ses côtés, Lorène Delcor, fondatrice de la manifestation, à eux deux, ils concoctent une affiche éclectique, mêlant artistes internationaux et nouveaux talents à découvrir.
Quatre jours de festival, ponctués de concours de danses, 900 danseurs festivaliers, atelier de danse proposé par Salia Sanou, Bianca Locatelli et Nils Andrén qui incarnent le Boogie Woogie. Pour vous initier à la danse de claquettes, la chorégraphe Josette Wiggan.
Sans oublier le couple du monde du swing, Pamela Gaizutyte et Tadas Vasiliauskas. Autre duo, insolite celui-ci, Moe Sakan et Vincenzo Fesi.
Leticia Martin, dite Leti et César Cano vivent pour le Jazz, une passion commune. Pour Tyedric Hill, danseur et chorégraphe, ce sont les danses afro-américaines qui rythment son quotidien.
Ambiance clubs de jazz des années 30
Le groupe "Hot Swing Sextet"et "Little Guinguette"*, nous font tourner la tête sous des airs de grands standards de Jazz
*Concert, le samedi 19 juillet 2025 à 13h
Concert Hot Swing Sextet. Le jeudi 17 et le vendredi 18 juillet 2025 à 20h
Sur la promenade du Peyrou.
Les Carolina Reapers Swing mettent l'ambiance. En concert, le samedi 19 et le dimanche 20 juillet 2025 à 20h sur la promenade du Peyrou. Egalement à l'affiche, le groupe Rockabilly, Country et Swing Montpelliérain, le Petit Vince trio, à suivre sur la Petite scène le dimanche 20 juillet 2025 à 13h
Sur la promenade du Peyrou.
Du jeudi 17 au dimanche 20 juillet 2025
Place du Peyrou
34 000 Montpellier
Quand l’art contemporain rencontre le monde de la Préhistoire ça peut faire peur ! Mais ici pas de crainte, l’artiste Aurélien Mauplot est dans son élément. En effet depuis 2022, au gré de ses de résidences au sein du Musée national de Préhistoire, il explore la période préhistorique avec aisance.
Entre sciences et patrimoine
Sculptures, installations, performances et dispositifs inédits installés au Musée ouvrent les portes "des mondes invisibles". Une quinzaine d’œuvres inédites sont présentées parmi celles-ci, “Jekstàt”, une commande publique issue de sculptures de calcaire frottées au charbon, photographiées et présentées sous forme murale.
Le Musée National de Préhistoire s'anime, pour inviter les visiteurs "à une autre manière d’approcher la Préhistoire", comme le souhaite Nathalie Fourment, directrice du Musée national de Préhistoire.
Créé en 1918, le Musée national de Préhistoire est le plus grand musée de Préhistoire au monde par la richesse de ses collections (7 millions de pièces). Situé aux Eyzies-de-Tayac, au cœur de la vallée de la Vézère classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, il joue un rôle majeur dans la recherche, la conservation et la valorisation du patrimoine préhistorique grâce à son large panel de vestiges anthropologiques, objets d’art mobilier, outils, blocs ornés, silex et sépultures.
Les mondes invisibles
Jusqu'au 5 janvier 2026
Horaires d’ouverture :
Juin et septembre : de 9h30 à 18h, fermé le mardi
Juillet et août : de 9h30 à 18h30, sans interruption
D'octobre à mai : de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h30, fermé le mardi.
Musée national de Préhistoire
1 Rue du Musée
24620 Les Eyzies-de-Tayac
Les ailes du Moulin Rouge tournent dans le ciel de Paris depuis 135 ans
La chute survenue dans la nuit du 24 au 25 avril 2024, avait ému la presse internationale, tout un symbole de la vie parisienne s'était envolé. Aujourd'hui, les dommages réparés, le Moulin Rouge invite le public à fêter le nouvel accrochage des Ailes mythiques.
Pour célébrer l'évènement, un happening exceptionnel aura lieu le 10 juillet à 22h45 Place Blanche devant le Moulin Rouge. À cette occasion, les artistes du cabaret sortiront en costumes dans la rue pour célébrer ensemble le grand retour des ailes tournantes, au rythme de la musique, des plumes et des paillettes.
Installées en 1889, les ailes rouges, perchées au sommet du cabaret le plus célèbre du monde, n’avaient pratiquement jamais cessé de tourner depuis plus d’un siècle Allumées pour la première fois le 6 octobre 1889 à l’ouverture du Moulin Rouge, elles sont devenues l’un des symboles de la capitale.
Le 10 Juillet 2025
Le Moulin Rouge
Boulevard de Clichy
75018 Paris
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