La rédaction
Visite du Fort Libéria
- Visite du Fort Libéria © photo PdF 2019 Visite du Fort Libéria © photo PdF 2019
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- Vue sur Villefranche de Conflent © photo PdF 2019 Vue sur Villefranche de Conflent © photo PdF 2019
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https://www.patrimoinedefrance.fr/component/k2/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=602#sigProId878afbf397
En Occitanie, dans les Pyrénées-Orientales, le Fort Libéria se dresse fièrement à l'ombre de Villefranche de Conflent. En toutes saisons on le visite mais les couleurs automnales le rendent encore plus séduisant.
La vulnérabilité de Villefranche de Conflent, et sa proximité avec la frontière, engendre la construction de ce projet défensif. Le Traité des Pyrénées (1659) redéfinit une nouvelle frontière entre la France et l'Espagne, la Catalogne coupée en deux, fera de ce Fort une place stratégique.
Après maintes hésitations, Louis XIV finira par trancher en faveur du projet de Vauban en 1679 pour doter le Roussillon d'une grosse Redoute. Construit à flanc de montagne, cet "espèce de château" comme le décrit l'inspecteur des travaux, Louvois, en mai 1680 dans son rapport au Roi, le rassurant quant à sa capacité de forteresse imprenable, en impose.
La commanderie pourra accueillir une centaine d'hommes, des officiers, le système de citerne sera amélioré.
"On ne saurait apporter trop de soins aux bâtiments de ce fort" insiste Vauban
Modifications et de nouveaux aménagements se multiplient au cours de son édification : des caves pouvant servir de magasin, des chemins de ronde équipés de parapet en ferronnerie du pays, des parapets de briques voisines (la briqueterie n'existe plus aujourd'hui) le mortier utilisé composer d'un tiers de chaux vive et de deux tiers de sable en font une construction indestructible. Les travaux vont durer six années.
Le Fort se joue de son apparente puissance
Une vingtaine de canonnières abrite deux pièces de douze, deux de 8 et six de 4, une dizaine d'arquebuses rayées, 24 à crocs et 2000 grenades... les troupes en faible nombre et dans l'incapacité de se défendre, miraculeusement, le Fort Libéria ne sera jamais attaqué malgré les épisodes guerriers avec le voisin espagnol.
La prison des Dames
Triste épisode de l'histoire du Fort, l'enfermement à vie dans une des caves pour huit femmes soupçonnées d'avoir participer à l'Affaire des Poisons. Louis XIV les fera envoyer dans différentes forteresses françaises par lettres de cachet. Sans jugement, ces prisonnières pour raison d'état, finiront leur jour dans d'atroces conditions.
La légende raconte que deux d'entre elles y survivront 36 et 44 ans en captivité. Pour l'exemple, la Marquise de Brinvilliers et La Voisin seront brûlées Place des Grèves à Paris.
La République établie suite à la Révolution Française, répare en 1793, les tirs de canon espagnols qui ont endommagés les parapets et une partie des guérites.
De 1850 à 1856, Napoléon III ordonne de fortifier le château. Il renforce la construction par trois ouvrages, mi-bastions, mi-tours, orientés vers Mont-Louis, Vernet les Bains et Prades.
Le souterrain dit des 1000 marches (1850-1853)
Il fera creuser ce fameux souterrain qu'avait imaginé Vauban. Ce chantier ambitieux prend forme deux cents ans après. Celui-ci comptera de nombreuses victimes, 250 ouvriers y travaillent, 22 périront.
En 1890, l'armée quitte le Fort. Seul, un détachement militaire occupera les lieux durant la Première Guerre Mondiale. Il servira de prison à des prisonniers allemands.
La municipalité ne voyant pas l'utilité de l'acheter au Domaine en 1927 le laisse devenir propriété privée. Il sera baptisé, par Julien Laurens, l'acquéreur, Fort Libéria, du nom de la ville qui s'appelait à l'origine Villa Libera.
Le Fort Libéria est aujourd'hui un monument privé toujours en état de perfectionnement pour satisfaire les visiteurs.Trois ans de restauration et l'ouverture au public en 1987, concrétise un long travail d'entretien.
L'équipe met toute son énergie à la transmission de son histoire incroyable.
Ouvert toute l'année
Avril à mai de 10h à 19h, de juin à septembre de 9h à 20h
Visites guidées en été et pour les groupes toutes les 20 minutes.
Fort Libéria
Hall d'information
17 rue St Jacques
04.68.96.34.01
Au Palais Bénédictine
- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
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- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
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- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
- Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019 Visite du Palais Bénédictine à Fécamp © photo PdF 2019
https://www.patrimoinedefrance.fr/component/k2/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=602#sigProId3209ca81cc
Fécamp retient notre attention pour son musée de la Pêcherie dont nous avions suivi l'ouverture, installé sur le port, il regroupe les collections des Beaux-Arts ainsi qu'une somme importante d'objets traditionnels normands.
Une visite passionnante sur la vie à l'époque des pêcheurs.
Mais Fécamp recèle d'autres trésors comme celui qui domine la ville, le Palais Bénédictine haut-lieu d'un autre savoir-faire régional.
Chef d'oeuvre du XIXe
Ce lieu impressionnant ne détient pas seulement Le secret bien gardé de fabrication d'une liqueur mais est étonnant à plus d'un titre. L'on passe de salles en salles à différentes époques, ce qui en fait une visite plus que surprenante.
L'architecture évolue sous nos yeux, passant de la Salle Gothique, l’Oratoire à la Salle du Dôme. Ou bien encore la Salle des Abbés.
Manuscrits, reliquaires, objets de culte en ivoire, argent, émaux, tableaux, le Palais est d'une richesse patrimoniale impressionnante.
Un secret bien gardé
C'est l'unique endroit au monde où l'on fabrique encore le mystérieux élixir. En témoignent les alambics en cuivre martelé datant pour certains du XIXe siècle, encore utilisés aujourd’hui.
En Seine-Maritime
Fécamp est situé en bord de mer, à 2h15 de Paris, 1h de Rouen, 1h de Deauville, 45’ du Havre, 20’ d’Etretat…
Palais Bénédictine
110 rue Alexandre le Grand
76 400Fécamp
02 35 10 26 10
Attention l'abus d'alcool est dangereux A consommer avec modération
Au village du Crozet
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Entre Forez et Bourbonnais
Petie cité médiévale le Crozet mérite bien son titre de "Village de caractère" et celui de "Village de verre" décerné en 2011 car il devient tous les deux ans, le point de rencontre de maîtres verriers venus de tous les coins de l'Hexagone.
Frontière naturelle avec la Loire
Ce village détient un patrimoine hors-pair en témoignent la foule qui se presse aux beaux jours.
Maisons du XIIIe, XVe et XVIe se succèdent au fil de la balade.
L'entrée par la Grande Porte nous fait pénétrer dans un univers fleuri et apaisant où l'architecture diversifiée réjouit le regard. La Tour à Bec se dévoile, cache dans son antre un puits charmant.
La maison Papon, au style Renaissance, en impose comme son propriétaire dont l'histoire est tout à fait extraordinaire.
A voir également la chapelle des Vicomtes de Mâcon en ruines elle abrite différentes expositions
Au Musée des Arts et traditions populaires, des reconstitutions d'ateliers et de métiers anciens, ravissent les visiteurs
Festival du Verre en août
Point information du Crozet
Le Bourg
04.77.64.11.89
Visites guidées en groupe sur réservation
D'Avril à octobre
Amisvieuxcrozet@orange.fr
A Ambierle
- D'inspiration bourguignonne la toiture du prieuré d'Ambierlé © photo PdF 2019 D'inspiration bourguignonne la toiture du prieuré d'Ambierlé © photo PdF 2019
- Dinspiration bourguignonne la toiture du prieuré d'Ambierlé © photo PdF 2019 Dinspiration bourguignonne la toiture du prieuré d'Ambierlé © photo PdF 2019
- © photo PdF 2019 © photo PdF 2019
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Peu étendu, et pourtant le village d'Ambierlé propose quelques curiosités qui valent le détour.
Tout d'abord celui qui surplombe la plaine, le Prieuré* remarquable par son architecture gothique du XVe. Il ne faut pas manquer le retable bruxellois de 1466, et ses scènes sculptées autour de la Passion du Christ.
Vitraux et stalles du XVe
A voir dans ce petit village de caractère, le musée Alice Taverne (1904-1969), du nom de sa conceptrice, qui évoque toute la vie rurale du Roannais.
Site ouvert toute l'année en visite libre*
Musée Alice Taverne
De février à Novembre
04.77.65.60.99
Maison de Pays et de tourisme
Le Prieuré 42820 Ambierle
04.77.65.62.33
Visite commentée du musée et de l'église sur réservation
A Saint-Haôn le Chatel
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Ses lettres de noblesse
Saint-Haôn le Chatel encore du concentré de patrimoine ! de l'époque gallo-romaine au Moyen-Age, c'est la plus petite coommune du département. Le tour de ce village ne manque pas de curiosités. A l'origine, elle se compose de 18 tours de défense, et de quatre portes d'entrées dont la Porte de l'Horloge qui demeure un vestige incroyable (XIVe)
C'est un lieu vivant et dynamique entretenu par des animations au coeur de l'été. Sans doute ce décor qui attire à lui les amateurs de vieilles pierres et comme la littérature n'est pas bien loin, de nombreux amoureux de la langue française s'y donnent rendez-vous.
Une plongée dans l'univers des mots qui rassemble de plus en plus de monde.
Il s'y déroule une manifestation plus qu'originale autour de la Poésie. Des extraits de chefs d'oeuvre de notre littérature sont lus non stop,
Il faut passer à l'église admirer les fresques colorées.
Toujours durant la saison estivale, en août, la Fête médiévale "Aux Temps d'antan" anime la cité de tout son savoir-faire ancestral, vieux métiers, stages d'enluminure...
"C'était à chaque étage un souvenir, une émotion quelque chose de surrané et d'impalpable..."Georges Perec, la Vie mode d'emploi
On respire ici avec une vue privilégiée sur les Monts de la Madelaine, attention aux sorcièresqui hantent les lieux ! aux alentours, les habitants dominent le panorama.
Visite guidée toute l'année
04.77.64.28.25
Les Monts de la Madeleine
Saint Just en Chevallet
04.77.65.10.22
Réédition du service de table Hansi
Les amoureux de l'Alsace authentique seront heureux d'apprendre que le fameux service de vaisselle Hansi reprend du service ! En effet grâce aux dessins de Jean-Jacques Waltz, alias Hansi, et avec la complicité des Faïenceries de Lunéville – Saint-Clément – Utzschneider, le marché de l'Oncle Hansi va rééditer ses oeuvres originales.
Son parcours de vie et ses oeuvres
Depuis l’ouverture en 2015 à Colmar du Village Hansi et de son Musée, entièrement dédié à l’artiste, le public était très demandeur de pouvoir se réapproprier ses créations.
En 1925, le célèbre peintre Hansi créait, avec les Faïenceries de Sarreguemines Utzschneider, un service de table alsacien qui connut un énorme succès.
Du patrimoine artistique alsacien
Une collection riche d’une multitude de décors pour un service complet se déclinant en assiettes plates, creuses, à dessert, en coupelles, raviers, pots à confiture, coquetiers, plats carrés, rectangulaires, plats à tartes, à cakes, tasses à expresso, mugs, bols à pied, bols à oreilles, tasses et soucoupes déjeuner, théières boule, et terrines à foie gras.
Les Manufactures Royales de Lunéville et Saint-Clément, fondées au 18e siècle et labellisées « Entreprises du Patrimoine Vivant », ajoutent dorénavant à leurs productions une collection d’objets pour la table et pour la décoration.
Marché ou Musée de l'Oncle Hansi
28, Rue des Têtes
68 000 Colmar
03.89.41.44.20
Léonard De Vinci au Louvre
- Andrea del Verrocchio (Florence, vers 1435 – Venise, 1488), L’Incrédulité de saint Thomas, 1467-1483. Bronze aux inscriptions dorées. H. 230 cm. Florence, Orsanmichele, Museo Nazionale del Bargello © Louis Frank Andrea del Verrocchio (Florence, vers 1435 – Venise, 1488), L’Incrédulité de saint Thomas, 1467-1483. Bronze aux inscriptions dorées. H. 230 cm. Florence, Orsanmichele, Museo Nazionale del Bargello © Louis Frank
- Léonard de Vinci, Portrait de jeune homme tenant une partition, dit Le Musicien, vers 1483-1490. Huile sur bois (noyer). H. 44,7 ; L. 32 cm. Milan, Pinacoteca Ambrosiana, inv. 99 © Veneranda Biblioteca Ambrosiana Léonard de Vinci, Portrait de jeune homme tenant une partition, dit Le Musicien, vers 1483-1490. Huile sur bois (noyer). H. 44,7 ; L. 32 cm. Milan, Pinacoteca Ambrosiana, inv. 99 © Veneranda Biblioteca Ambrosiana
- Léonard de Vinci, Études de mains, vers 1485-1492. Charbon de bois, pointe métallique, rehauts de blanc. H. 21,5 ; L. 15 cm. Windsor Castle, The Royal Collection, Royal Library, 12558. Royal Collection Trust / © Her Majesty Queen Elizabeth II 2019 Léonard de Vinci, Études de mains, vers 1485-1492. Charbon de bois, pointe métallique, rehauts de blanc. H. 21,5 ; L. 15 cm. Windsor Castle, The Royal Collection, Royal Library, 12558. Royal Collection Trust / © Her Majesty Queen Elizabeth II 2019
- Léonard de Vinci, Portrait d’une dame de la cour de Milan, dit, à tort, La Belle Ferronnière, vers 1490-1497. Huile sur bois (noyer). H. 63,5 ; L. 44,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures, INV. 778 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado. Léonard de Vinci, Portrait d’une dame de la cour de Milan, dit, à tort, La Belle Ferronnière, vers 1490-1497. Huile sur bois (noyer). H. 63,5 ; L. 44,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures, INV. 778 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.
- Léonard de Vinci, Portrait d’Isabelle d’Este, vers 1499 -1500. Pointe métallique, charbon de bois, sanguine, ocre jaune. H. 61 ; L. 46,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, MI 753 © RMNGrand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado. Léonard de Vinci, Portrait d’Isabelle d’Este, vers 1499 -1500. Pointe métallique, charbon de bois, sanguine, ocre jaune. H. 61 ; L. 46,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, MI 753 © RMNGrand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.
- Léonard de Vinci, Étude pour la Sainte Anne : le manteau de la Vierge, vers 1507-1510. Pierre noire, lavis gris et rehauts de blanc. H. 23 ; L. 24,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, INV. 2257 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado Léonard de Vinci, Étude pour la Sainte Anne : le manteau de la Vierge, vers 1507-1510. Pierre noire, lavis gris et rehauts de blanc. H. 23 ; L. 24,5 cm. Paris, musée du Louvre, département des Arts graphiques, INV. 2257 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado
https://www.patrimoinedefrance.fr/component/k2/author/995-la-r%C3%A9daction.html?start=602#sigProId1aff2ddaaa
Le Louvre devient la capitale des Arts en accueillant la dernière expsosition Léonardo Da Vinci à l'abri de la Pyramide. Pour célébrer les 500 ans de la mort de Léonard de Vinci en France, le musée du Louvre rend hommage à ce génie.
Une rétrospective qui a déjà engendré de nombreuses réservations vu le nombre impressionnant de visiteurs qui se pressent autour des oeuvres du peintre.
22 dessins, 5 tableaux du Maître et près de cent quarante oeuvres constituent ce rassemblement artistique.
L'accent est mis sur sa création graphique et ses recherches en matière d'astronomie, d'anatomie, de chimie, l'homme en quête de savoir et l'artiste curieux avide d'apprendre et de connaître.
Soit plus de 160 oeuvres (peintures, dessins, manuscrits, sculptures, objets d’art) issues des plus prestigieuses institutions européennes et américaines : la Royal Collection, le British Museum, la National Gallery de Londres, la Pinacothèque vaticane, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, la Galleria Nazionale de Parme, le musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, les Gallerie dell’Accademia de Venise, le Metropolitan Museum de New York, l’Institut de France.
L'exposition suit la vie du maître florentin selon six périodes chronologiques rythmées par ses déplacements géographiques.
La Joconde restera toutefois exposée dans la salle des États durant l'exposition
Du 24 Octobre 2019 au 24 Février 2020
Visites guidées. Adultes à partir du 7 novembre, tous les jours à 15h30 ; les mercredis et vendredis à 19h. Familles à partir du 13
novembre, tous les mercredis à 15h30.
Visites de l’exposition à destination des publics en situation de handicap : renseignements sur :
www.louvre.fr/visites-activites-groupes-publics-specifiques
Commissaires de l’exposition : Vincent Delieuvin, conservateur en chef du Patrimoine, département des Peintures, et Louis Frank, conservateur en chef du Patrimoine, département des Arts graphiques, musée du Louvre.
En raison de l’affluence attendue, l’exposition est accessible uniquement sur réservation d’un créneau horaire pour offrir un meilleur confort de
visite. Ce dispositif s’applique à tous les visiteurs, y compris à ceux ayant un accès libre/gratuit au musée : www.ticketlouvre.fr
Musée du Louvre
Dans le Hall Napoléon
Rue de Rivoli
75001 Paris